À la recherche des disparus

Lorsque Rulmorik le nain se tourna vers ses compagnons, un chevalier, son serviteur (tout deux humains), un demi-elfe et un barde plutôt étrange, pour leur signifier son ignorance de la destination pour chercher les diparues, il remarqua à travers le blizzard qui semblait sans cesse s'épaissir une carriole à deux chevaux qu'il connaissait bien s'approcher... Un grand sourir parut sur son visage et il se dirigea alors d'un bon pas vers la calèche pour admirer son ancien aubergiste qui avait reprit un coup de jeunesse. Voyant son armure étincelé, Rulmorik fut bien surpris. Il se planta alors devant les deux chevaux, regarda son ami et chercha ses mots avec un sourire...

-Que dire devant ce regain de jeunesse, dit-il. Je suis des plus heureux de te voir avec nous cher ami...

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Tifak fut figé devant cet évènement...
-"Qu'est-ce qui vous êtes arriver?!?"
Dit-il à l'aubergiste en oubliant même quelque métode de courtoisie.

Nestor répondit à la place de "Monsieur" Tifak et il répondit à Yougo.
-(Nestor)"Et bien... mon maître n'aime pas les tueries quand il sont fait pour le plaisir, dû moin il fait de son mieux. (Parlant moin fort) On dirait qu'il tente de refouler quelque chose qui s'est passé ou de quelque chose... qui va se passe.Mais sachez que mon maître est un ami fiable et digne, donc il ne vous cacherait rien, à moin que de le révéler puisse faire du tors!"

Tifak avait prit le devant et il répondit au Nain.
-"Il y a bien un marcher à quelque part, on pourrait se renseigner là bas. De plus, mon homme qui a disparu était en patrouille là bas, en plein jour! Donc on pourrait peut etre trouver quelque chose d'intéressant. Et au faite je vous remercie tous de m'avoir accompagner, mais sacher que j'enterre même mes ennemis à moin d'etre pressé alors ne vous en étonner pas. Tempus respecte tous les combattant..."

+++

(Rayonnant d'avoir retrouver ses anciens clients, Galahad répondit un peu gêner:

-Hé bien quoi? Mon acienne armure me fesait encore, comme au bon vieux temps et ... et puis viens donc dans la calèche te réchauffer au lieux de me regarder comme ça, petit guerrier! (Dit-il en riant) Vous aussi, pendant que vous y êtes (s'adresse à Must et Yugo). Ce n'est pas que je veuille m'imposer mais comme ce sera vraiment la saison morte pour mes affaires depuis que la façade de mon établissement est partie en écla... Vous comptiez faire tout ce chemin à pied dans la neige et ralentir ceux qui sont à cheval? Et puis... puisque c'est le maire qui l'offre, autant en profiter!

(Se lève pour mieux faire porter sa voix par dessus le vent qui souffle. Aux premier mots, voyant qu'il ne réussissait pas à se faire comprendre de Tifak, il débarqua de la calèche pour se rapprocher du cheval du noble.)

-Seigneur Lance-D'acier, si vous le permetez j'aimerais vous conceiller sur ce qu'il advient de faire. Notre petite bourgade est bien modeste mais elle pourra sans problème acceuillir le reste de vos hommes alors que vous chercherez votre disparu. Certaine de nos familles ont déjà rapporter des disparus à la mairie mais nos... dirrigents... on mit ces "accidents" sur le compte des wargs qui infestait la régions. Mes avis qu'il n'y a pas que des wargs et ça, tout le monde le sais bien. On vous appuira, puisque vous tomberez sûrement dans vos recherche sur ce qui se trame dans les environs.

-La plupart de nos chiens se sont, lors d'une chaude nuit d'été, dirriger dans les bois, comme ça, en courant. Yen a qui dise qu'ils sont mort, d'autre qu'ils se sont transformer... Votre homme est le premier disparu de jour, les autres avaient pourtant "disparu" la nuit et c'est pas bon signe. On raconte dans notre régions que ce n'est pas la première fois qu'une tel histoire ce produit. Tout un village, dit-on, est devenu du jour au lendemain un village fantôme. Mais ce sont de vielles histoires d'ivrogne... tout ce que je suis certain, c'est que le maire nous cache quelque chose. Juste à regarder cette petite fouine et on le sait bien. Comme vous êtes de la haute-classe, il ne pourra sûrement pas refuser de vous voire pour votre affaire.

(Et il attendi, soulager d'avoir enfin dit ce qu'il aurait du dire. On aimait pas parler de ces histoires dans le coins. Ça porte malheur et ce n'est pas bon pour le commerce. Maintenant, à cet heure, on ne pouvait pas dire si c'était le crépuscule ou bien si c'était la tempête qui s'emballait mais le village semblait plus sombre. Au loins, c'est à peine si on voyait les forêts qui englobais toute la régions. Quant aux montagnes, elles s'étaient effacer devant un rideau blanc depuis longtemps.)
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Lorsque l'aubergiste demanda au nain s'il voulait grimpé dans la calèche, il répondit simplement en plantant ses grosses bottes dans la neige:

-Sachez, mon bon, que la neige n'arrête point les nains et que de toute façon, je préfère marcher... Ainsi je pourrai surveiller vos arrières je suppose... Puis il regarda les chevaux presque trois fois plus haut que lui avec un mélange de peur, de dégout et de crainte et écouta attentivement ce que l'aubergite dit au chevalier... Il fut par la suite bien pensif...

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Yougo se tourna vers l'aubergiste et dit:

-Merci bien, cher compagnon, mais je décline polieent votre offre. Je préfère encore vagabonder dans la neige que de faire tout le trajet assis dans une calèche.

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Must vers Galahad:"Moi par contre j'accepte bien votre invitation, on se les gèles dans toutes cette neige!"

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-"D'accord et bien mes amis... nous allons demander un petit entretien avec le maire.J'espere que je ne serai pas le seul admis par contre. Nestor trouve une personne honnête dans ce village qui pourrait réfugier mes soldats ou te dire où il le pourrait. Dite lui qu'en échange il aura notre protection..."

Tifak sembla en avoir fini et nestor se dirigea vers la petite garnison d'hommes. Mais Tifak lui dicta un dernier ordre.

-"Oh j'y pense! Dites au sergeant qu'il ne faut aucune patrouille inférieur à trois membre, d'accord?"

Nestor lui répondit en un simple signe de tête et il demanda à Tifak où il le rejoindrais.Ce dernier lui dit qu'il pouvait les attendres à la mairie.

Alors le groupe se dirigea vers la mairie pour demander un entretien avec cet homme louche...

(Je crois que c'est à toi, Galahad, de continuer Wink

Alors que les compagnons avançaient à vitesse réduite dans cette tempête digne des strates les plus froides des abysses, des hurlement semblables à ceux de loups appellant la lune se firent entendre. La lumière baissait à vue d'oeil et la visibilité à travers ces voiles de neiges semblait de plus en plus impossible. Rulmorik devait garder une main sur la charette pour se guider et la neige montait si vite qu'il en avait bien en haut des hanches... Un nouveau hurlement se fit entendre, plus près cette fois, droit devant... Tous se figèrent, la charette arrêta... Les compagnons tentèrent bien de se dévisager du regard mais seulement la silouhette de chacun était visible.

Alors que tous attendait avant de continuer pour que le problème passe, plusieurs ombre se jetèrent soudain sur le nain, il chuta dans la neige et fut recouvert par la masse... Trois wargs s'étaient jetés sur lui et sa hache avait alors tombé sous la mer de neige recouvrant la terre...

(Léger imprévu mais bon, mieux vaut tard que jamais. Après tout, le chaos reigne partout... surtout ici.)

(Galahad trouva fort bizzard et la fois fort inquiétant d'entendre ces hurlements si près de la ville... Les "loups" ne devait maintenant plus asser craindre le village et ses hommes pour s'empêcher de parcourir les petites allées désertes entre les maisons. L'ancien ternier de pu faire autrement que d'essayer de calmer ses bêtes déjà fortement affoler. Les guerriers du Seigneur Tifak se révélerons un cadeau venu du ciel, pas de doute... Dans le village de XDragon, très peu était entraîner au maniment des armes et encore moins fesaient partie de la millice. Bien sûr, un courage vigoureux était coutume et il y avait quelques vieux guerroyeurs ici et là...)

-Aux armes! cria Galahad lorsqu'il vit, ou plutôt entendi, les wargs sautés sur l'un de ses compagnons, tout proche, au côté même du charriot. Lançant plutôt que donnant les rênes a Must, enfoncer dans ses couvertures, Galahad se releva furieusement et d'un ou deux bond, sauta dans la mêler sans même avoir tirer sa longue épée... Aux yeux des autres, il se fondit dans les ténèbres blanc, fusionnat aux formes flou qui ne fesaient qu'un. Le tumulte épouvantable des grognements sourd, de bête ou d'homme, allez savoir, se firent entendre par dessus le vent d'Azur qui se déchaînait. Une plainte animal, un jappement... et l'une des formes quadruped se fie soudainement catapulté loin, loin dans les abimes blanc...

Rulmorik était enfoui sous la neige et un warg affamé tentait de lui arracher le pied semblait-il... Il ne connaissait pas les bottes naines celui-là... Rulmorik réussi tant bien que mal à prendre une hachette à sa ceinture et tenta alors d'éventrer le warg juste au dessus de lui. La peau des wargs étant bien épaisse, il ne réussi qu'à y faire une mince coupure. C'était quand même assez pour que le warg se tourne vers la figure du nains plutôt que ses pieds...

Alors qu'il allait lui engloutir la tête, machoire bien béante, Rulmorik plaça sa hachette devant ses yeux et les warg mordit, à son étonnement la machette. Sa gueule se fendit et Rulmorik reçu en plein visage deux dents et un paquet de sang. Le warg bondit ensuite un peu plus loin, lachant des hurlement de douleur. Rulmorik put donc se relever et reprendre sa hache mais lorsqu'il releva la tête, le warg avait hurlé pour du renfort... Quatre wargs entouraient le nain maintenant...

Au même moment dans le bureau du maire: Un homme de taille moyenne plutôt mince enlevait de lui des haillons de ce qui était autrefois un des plus magnifiques manteaux et son plus dispendieux costume.

L'homme dit au maire:'' Tout se déroule a merveille maître, je me suis lié d'amitié avec Galahad comme vous me l'aviez demandé. À la recherche des disparus Angry-s2

Mes sorts d'espionnage fonctionne à merveille, Galahad est parti à ma recherche hors de la ville''

- Parfait Karl, heu je veux dire Izac, faire confience dans tes talents de déguisement fus ma meilleure décision, tu as enfin sorti Galahad de son auberge. Pars la même occasion, tu as amené ce casse-pied de nain, ce fénéant de barde, cet elfe bizarre et cet officier sur la fausse piste des wargs. Par le même fait du tes débarasser du seul soldat de ce Tifak qui connaisait notre secret. Tu mérite amplement tes 20 000 pièces d'or. Il ne doivent en aucun cas découvrir que je suis derrière tout ca. Tu comprend ?

-Oui maître. salut

C'est alors que Priskna (le maire) trompa la vigilance d'izac et activa son anneau de contrôle.

-Izac! Tu vas protéger le groupe de Galahad et son groupe pour qu'il arrive vivant à la crypte de Mirtdor. Rendu là tu descendra dans l'étage inférieur et attendra leur arrivé. Tu devras reprendre ton personnage de Karl mais cette fois il devra être au porte de la mort après son combat contre le démon.
En voyant le visage inquiet de l'assassin il s'empressa de le rassurer
Ne t'inquiete pas tu n'aura pas besoin de combattre un démon espèce d'imbécile.
Il était maintenant sûr qu'Izac était sous son contrôle car sinon il serait déja mort pour avoir insulter l'assassin au caractère de volcan.

-Le démon est déja mort, enfin presque tu n'aura qu'à lui infligé un coup car il est déja agonisant et sous stase temporelle.
Ensuite prions pour qu'il ne trouve pas la supercherie et qu'il accepte que tu te joigne a eux. quand cela sera fait tu te débarasse de Tifak,pour sa tu as déja une prime de 10 000 pièces d'or, commandité par son officier. Ensuite vient le tour du barde et de l'elfe. Eux ne sont pas tes cibles prioritaires sauf si ils se mettent dans ton chemin.Rulmorik tant qu'à lui doit être éliminé car il s'opposera totalment a mes projets. Et souvient toi de cette phrase JE VEUX GALAHAD VIVANT!!! À la recherche des disparus Angry-sm

Izac se diriga vers la porte quand son employeur le rapella et lui dit: Après que tout cela soit terminé on s'arrangeras pour tes honoraires.

Mais se qu'il pensait était totalement différent de ce qu'il disait comme tout bon politicien, Izac était seulement un pion sur le jeu, il était sacrifiable.

Dans son esprit le jeu commencais a se clarifier et son plan de plus en plus concret. Enfin il allait pouvoir se venger de Galahad et par la même occasion se débarraser de plusieurs autres têtes nuisibles.

Avant même que les renforts aient pu arrivé, Izac foudroya le premier warg d'une flèche dans son oeil gauche. A sa grande surprise cela ne stoppa point la créature mais la rendti encore plus furieuse. Quand il vit la douzaine de wargs soritr des fourrés pale

, Izac prit son courage a deux main(son arc) et tira des flèches de plus belle. Elles firent tous mouchent et abatit 5 wargs dans le temps de le dire, aucune des créatures semblai avoir remarqué la présence de l'assassin.

(a toi mon cher galahad)

Quel heure était-il? Le crépuscule sans doute... Qui sait, dans un enfer de glace ou la vermine vous plonge dessus, chaque instant parrait une heure, chaque battement de coeur, une éternité... jusqu'à ce que vous brisiez votre ennemis, que vous entendiez ses os craquer dans vos mains, vous savez que jamais vous ne vous êtes sentis plus en vie. L'adrénaline, le goût cuivrer du sang, la peur et la résignation dans leur yeux au moment ou il se savent vaincu... chaque moments, différents du précédent, vient se graver en lettre de feux dans l'esprit.

Galahad, tout réçament ex-aubergiste, redevenait le vétérant d'une force oublier, retrouvait le goût de l'aventure et atteignait une phase de concentration qui atteignait presque le bohneur. Oui, toute ces années paisible à servir la boisson, à s'incruster dans une vie de civile ordinaire et tranquile... tout cela n'avait pas réussi à l'empâter au point de lui soustraire ses talents de guerroyeur... et puis il y avait toujours eu quelques rixtes de taverne pour ponctuer la routine. Agrémenter de vénéreables duels verbaux avec l'arrogant maire du village. Un idiot de première qui, désormais, devait payer chere pour ne pas avoir organisé la contrustion de pallissades pour protéger ses villageois.

De toute façons, Galahad et lui ne s'était jamais aimer et les pallissades n'était rien d'autre qu'un prétexte pour se détester encore plus. Pour une raison purement instinctive, l'aubergiste n'avait jamais apprécier le sale petit rat. Sentiment réciproque, tout simplement. Il y avait de ces choses qui parraissaient si évidentes... tous les fonctionnaires n'était que des lâches.

Chassant son ressentiment envers le maire, Galahad focussa sur le pétrin dans lequel ils étaient. Au Nord du village de XDragon, par un sentier bien connue, son ancien groupes de clients, les seuls en cette saison, étaient tous dessendu pour aller voir le "chef" du village afin de lui présenter le seigneur Tifak... mais en chemin, ils avaient croulé sous une embuscade de wargs, de véritables démonds loups. Leur groupe est, ou était, composé de 5 individus peu ordinaires...

L'un d'eux avait été en compagnie de Galahad dans le chariot: c'était Must, le barde. Depuis le début du combat, il avait tenter de maîtriser les chevaux sans grand succès. Ces derniers, des wargs à leur trousse, avait poursuivi leur course aveugle, entraînant le barde on ne sait où.

Galahad, lui, avait sauté du chariot pour entreprendre de défendre son plus fidèle ami, toujours aux prises avec les wargs. Rulmorik le nain, avec Yougo le demi-elf, avait décidé de marcher aux côté de l'attelage et en payait maintenant le prix. C'était eux qui avait été victime du premier assault. Yougo avait été séparé dès le début du combat et au travers du mur blanc de la tempête, on ne pouvait savoir s'il était toujours parmis les vivants. Nul doute que le demi-elf débrouillard savait bien utilisé son épés à deux mains... mais pendant combien de temps?

Rulmorik, désaventager par sa petite taille en plus d'être ralentis par la neige, contrairement au demi-elf, avait été vite submerger. Il n'en tenait par moins à vendre chairement sa peau... quant au dernier membre de la compagnie, le seigneur Tifak Lance d'acier, il avait emplement de quoi s'occuper. Sa monture, bien mieux entraîner que les chevaux d'attelages, n'avait pas sombrer dans la panique et ils avaient dû suivre le barde pour lui venir en aide.

C'était tout ce que Galahad analysa de la situation. Toujours savoir ce qui se passe sur un champs de bataille. Combien il y avait de wargs, ça, c'était plus difficile. Une dixaine, une trentaine... la meute au grand complet? Sans doute que non, mais c'est monstres avaient sûrement plonger sur eux en se sachant nettement suppérieur en nombre.

Il ne comptait plus les fois où son armure avait empêcher les wargs de l'éventrer. Pour chaque peau de loup tranpercées de sa petite épée, il y en avait une paire bien vivante qui la remplaçait. Sa grande lame, inutile dans un combat si rapproché, était toujours à son dos... son dos, sur lequel bien vite un warg vint s'agripper, bavant et maugréant ce qui semblait être un cris de victoire. Même s'il était aussi fort que quattres hommes et en dépassait la plupart d'une bonne tête, Galahad perdi pied et roula dans la neige alors que l'autre essaiyait de lui donner le coup de grâce. L'attention des autres wargs semblait avoir été attirée ailleurs. Parrions que c'était de vaillants villageois qui avaient entendus le raffus et les fameux cris de bataille de leur aubergiste. Quoi que ce fut, cela se révéla providencielle et lui donna la chance de renverser les rôles en aggrippant le warg par les machoires.

-Attend un peu sâleter cabot...

D'un coup, il lui ouvrit brutallement la geule en un grand fracas d'os brisé. Le dépouille du monstre s'agitta encore un peu avant de s'étaler sur lui. Se relevant aussi vite qu'il le pouvait, ayant perdu dans la neige sa petite épée, Galahad s'en tirait avec des écorchures, des contusions, une oreille en sang, une villaine morsure à la jambe... douleurs qui décuplaient son désir de vaincre, de tuer la vermine avant qu'elle le submerge. Il pris sa grande lame, qui aurait été plus qu'encombrante dans les mains d'un autre homme, et se tint solidement debout, en attente de voir ce qui entrerait dans son champ de vision; si diminué par la tempête hivernale. Était-il encore aussi près de Rulmorik qu'il avait cru l'être ou s'était-il éloigné de la bataille? Des bruits de combats au travers du blizzard...

Izac ayant trop prêté attention au cratures devant lui ne vit point Galahad s'effondré sous le poids du wargs, et ne vit pas les 3 wargs se glissé derrière lui. Au dernier moment un warg fit un bruit, pratiquement imperceptible pour un homme, que l'oreille de l'assasin percut avec facilité. Il se retouna, dégaina ses deux épées courtes et tenta de se débarasé des wargs sans trop attiré l'attention sur lui.

Alors que seulement deux wargs étaient toujours sur Rulmorik, maintenant disparu sous des flots de neige, il décida de ramper tant bien que mal pour sortir un peu plus loin de sous la neige. Il ne prit même pas le temps de se retourner pour courir aveuglément dans ce brouillard de neige. Il courrait tout en sentant le souffle chaud des wargs qui le suivait quand il retrouva la charette plus loin dans la forêt. Deux wargs entouraient les chevaux et Must avait disparu. Il s'empressa de se réfugier sous la charette. Une fois arrivé, il se retourna, reprenant sa hache en main. Le nain était bien habitué à se battre dans des endroits de taille réduite mais les wargs eux préféraient éviter les coups plutôt que les bloquer donc ils se retrouvaient désavantagé.

Le plus intelligent des deux lacha prise et décida plutôt de charger le dessus de la calèche. L'autre, s'avança lentement vers le nain, guettant le moindre de ses gestes, se préparant à attaquer au moment opportun. Mais Rulmorik avait plus d'un tour dans son sac. Le warg étant pratiquement de sa grandeur ce qui était la hauteur maximal du dessous de la calèche, il imagina un plan sans faille... De sa hache il sectionna les deux roues du côté du warg, ce qui fit basculer l'integralité de la calèche directement sur le warg. Sa colonne vertébrale se broya sur le coup...

C'est seulement après que Rulmorik réalisa avoir détruit la calèche... Mais bon il n'avait pas trop le choix pourrait-il toujours dire... Il regarda autour et fut dégouté par ce qu'il vit près de lui... Juste à l'avant de la calèche, l'un des worgs, occuper à éventrer l'un des cheveaux, dévourait gouluement son repas... Un peu trop car il n'entendit pas le nain approcher pour lui trancher la colonne en deux...

Lorsque Rulmorik sortit finalement de dessous la calèche, la tempête c'était un peut calmé. Il parvenait maintenant à voir à plusieurs mètres. Il vit donc Must le barde, un peu plus loin de la calèche, achever un warg qui s'effondra sur le sol enneigé. Le barde fit alors une grande salutation au nain, visiblement heureux de le voir. Rulmorik lui sourit mais s'effaca rapidement.

Un guerrier d'au moins deux têtes plus hautes que le barde s'avança derrière lui. Il était vêtu d'une armure complète d'un noir de jais et sur son heaume était présent deux ailes de dragons miniatures. À travers son heaume on pouvait voir des yeux d'un vert inquiétant. Il dégaina une immense épée à deux mains de son fourreau. L'épée semblait être formé de ténèbres.

Rulmorik voulut alors crier à Must de se retourner mais il n'eu pas le temps, le guerrier agissait déjà. Son épée de ténèbres trancha telle du beurre le corps du barde qui se sépara en deux à hauteur de la poitrine. Ses boyaux se répandirent sur le blanc de la neige et c'est sur Rulmorik que ses yeux restèrent dirigé. Rulmorik resta alors figé de terreur devant ce mal à l'état pur et ne sortit de sa torpeur que lorsque des wargs s'étant réuni autour du guerrier se mirent à courir après lui. L'immense guerrier le pointait et parlait dans une langue inconnu du nain mais qui semblait décidement très vile. Le nain courut alors pas seulement pour échapper aux wargs mais surtout pour se sauver de se sentiment de peur en présence du guerrier.

(*soupir* Bon, très bien.... Tifak, Must, puissiez-vous être fier)

Le bras engourdie, les pieds glacée, Tifak chevauchait toujours sa solide monture de guerre. Ce froid, si intense, semblait pénétrer jusqu'à son âme farouche, annonciateur des malheurs avenirs.

Il s'était lancer à la suite du chariot incontrôlable, l'attelage étant devenu fou de terreur suite à l'embuscade Warg; entrainant le pauvre Must qui beuglait à tu-tête et tirait avec acharnement sur les reines, sans résultat.

-Tenez bon! cria Tifak, rattrapant à toute vitesse la callèche.

Must, pour toute réponse, changea subitement de refrain et encouragea les cheveaux à aller aussi vite qu'ils le pouvaient. À l'inquiétante lueur de la lanterne, qui se balançait dangereusement sur son crochet, des wargs, remarquait-il à son grand désarroie, sautaient déjà aux abords de la callèche. Must laissa les sangles et sortie sa dague. Les bêtes, depuis le début, savaient que la fuite était nésséssaire. Ils arrivaient à un carfour, bien que cela échappa à tous les béligérants puisque le blizzard avait pris grand soin de cacher ce genre de détail.

-Et moi qui voulait mourir en tenant un instrument ou une jolie femme...

Dans un macabre esprit d'équipe, les wargs sautèrent sur les chevaux, stopant l'attelage et propulsant Must vers l'avant, manquant de l'expulser sur le sol.

Les chevaux n'eurent aucune chance et était maintenant parcouru de spasmes d'agonie sur le neige, la fraicheur et l'écarlate de leur sang barbouillant la neige à la lumière de la lanterne qui, par un effort héroïque, était rester accrochée à son crochet.

Malheureusement pour eux, aucun wargs n'auraient pu rivaliser avec la monture du célèbre Tifak Lance-d'Acier. Heaume baissé, lance levée, Tifak parcouru les derniers mètres en inspirant profondément l'air glacé pour sonner sa charge.

-TEMPUS!

Le vent même semblait s'être offusquer de cette être qui l'avait, pendant un instant, battu en force et en son. Must vit Tifak écraser sous sa monture les quelques wargs qui voulurent s'opposer au grand seigneur. Sa lance fit ses premières victimes, embrochant joyeusement les loups démoniaques au passage. Hurlant rages et malédictions dans leur propre langue, les autres loups se lancèrent à la poursuite du chevalier, qui avait maintenant une dizaine de monstres à ses trousses.

La vision du seigneur Lance d'Acier chargeant ses ennemis était un souvenir que tout homme, si appeuré soit-il, garde en mémoire. Must repris courage et sauta avec résolution de la charette. Serrant sa dague, il se faufilla hors de l'hallo lumineux de la lanterne pour se fondre dans la nuit comme le plus habile des brigants. Attiré par l'odeur et les cries, un warg solitaire sortait déjà des bosquets eneigés pour entâmer le festin, sur la chaire de ses compatriotes ou des chevaux, qu'importe. Aussi silencieux qu'une ombre, la neige étoufant ses pas, le barde s'approcha et lança sa dague. Le coup atteint le montres aux épaules.

Se retournant avec peine, le warg eu droit aux premiers passages du Requiem de bataille des barbares du nord, avant de sentir la rapière de l'humain le pourfendre de part en part.

Fort des pouvoir de la mélodie guerrière, Must attendie patiament les trois nouveaux quadrupèdes, qui avaient assisté à la scène et avençaient maintenant avec plus de méfiance que de crainte.

Rien n'est plus impressionant qu'un homme qui se sait damné, acculé au pied du mur et qui fixe son ennemi en le défiant de venir goûter de sa lame. Must, voyez-vous, n'était pas ce genre d'homme. Aussi retord et malicieux qu'il pouvait parraître, aux yeux du trio de wargs, il n'était qu'un bipède en infériorité numérique. Mal leur en fut de sous-estimer un humain... un bard, qui plus est.

Un mot de pouvoir arcanique mineur résonna dans la nuit. C'était maintenant deux wargs qui chargeaient Must, avec plus d'apréhension.

[...]

Plus loin, le seigneur Lance d'Acier, ivre du combat, caressait l'idée de retourner la charge des wargs contre eux lorsqu'un frisson parcouru son dos. Non, ce n'était pas le froid. Sur la route, plus loin, avençait une menace. Il le savait, le sentait. Obéïssante, sa monture passa au triple gallot et laissa des loups épuissés derrière elle.

Devant lui, la tempête s'étant atténué, Tifak distingua, à une cinquantaine de foullés, une profonde lueur rouge mélangé de vert qui s'avençait vers lui à toute vitesse. Il eu une de ces visions que seul peuvent avoir ceux qui rencontre leur néméssis pour la première fois. Devant lui, le chargeant comme il le chargeait maintenant armé de sa lance lumineuse, un autre chevalier d'un tout autre ordre venait à sa rencontre. Sa monture, d'une taille impressionnante, crachait le feux de ses nazeaux, ses orbites n'étaient que des flammes et la neige fondait à l'approche de cette créature de cauchemard. Tout en elle exhultait le mal et le vice.

Son maître, loin de pâlir devant sa monture, aurait été à sa place dans la guerre sanglante des 9 enfers plutôt qu'à la surface de la terre. Son armure était d'un noir de jais et son heaume abordait deux ailes de dragons déployés. Au travers de ce dernier, Tifak distingua les yeux vert de son ennemi où brillait une fureur égale à la sienne. Sa lance, si une tel chose pouvait être appeler ainsi, semblait absorber toute la fraicheur de la nuit et iradiait une sombre aura.

D'un même mouvement, les deux cavaliers encouragèrent leur monture à foncer.

[...]

Izac, de son côté, se débarrasa difficilement des trois bêtes qui l'avaient assaillient. L'une d'elles avaient réussi a tromper sa défense et l'avait entailler à l'abdomen, c'était une blessure plutot superficielle mais une blessure tout de même. Quand il se retourna vers le champ de bataille, il vit le pauvre Must se faire trancher.Il voulut cribler de flèches le cavalier mais il savait qu'il se ferait repérér rapidement donc il opta pour une tactique plus discrète, il se fondit dans les ombres pour observer le combat et quand le momment opportun de frapper sans e faire voir arrievrais il ferais qu'une bouché de ce satané guerrier.

Il n'entendit jamais l'ombre se faufiller derrière lui. Une fine main ganté asperga un bout de tissu avec une petite flasque.

Izac se disait que la chance lui sourissait pour une fois, personne ne l'avait repéré et il s'appretait a faire une belle entaille dans se foutu chevalier, mais une fraction de secondes avant de paser a l'assaut son sixième sens lui dit que quelque chose clochait, il se retouna, mais trop tard il avait déja le chiffon sur la bouche. Il voulait bien se défendre mais le liquide soporifique fesait déja effet. Sa dernière vision fut le visage de son agresseur, c'était une femme, mais quelle femme. Comment une aussi belle dame pouvait etre autant mortel?

La dame déposa le roublard sur la neige aussi doucement qu'une feuille tombe sur son lit en automne. Elle le délesta de toute ses armes et de son armure, et murmura pour elle même: Voyons de quoi tu es capable sans aucun moyen de défense mon ami. Avant de s'en aller elle déposa dans le manteua d'Izac une petite fleur bleue et une dague d'ivoire blanc.

(désolé pour la version précédente je me suis un peu trop distancé de l'idée de base mea culpa.)

Barron Nombre de messages : 181 Date d'inscription : 09/09/2004

Yougo avait trébucher du chariot. Suite à cela, nul ne sait combien de temps le Demi-Elfe était resté allongé... inerte. Il sembla reprendre consciense... ses yeux égarés tentait désespérément de rester ouvert. Sa vison étant nébuleuse , il ne distinguais que des fromes grisatres passer comme le vent en face de lui. Les sons déformé començais a devenir perceptible, alors yougo s'acrocha a ces sons. Des aboiements crut-ils entendre. Oui des aboiements et des rugissements, le demi-elfe fini par comprendre le dilecte employer! Sa différais de celui des loups,mais de peu. Sa connaissances sur ces animaux fesait de lui un excellent guide pour les contrés sauvages, mais cependant à ce moment il lui semblait qu'il ferait qu'un bon repas. C'était des worgs pensa t-il... Ils devaient avertir les autres, si yavait encore de ses compagnons vivant...

Il alla se mètre a genou lorsqu'il comprit son erreur trop tard; Les worgs ne l'attaquais pas du faite qu'il leur semblait, pour eux, qu'il était inactif... naturellement ces worgs se saurrais jeter sur lui même inactif! Alors quelqu'un ou quelque chose les as entraîner!

Trois worg sétait positionner en triangle autour de lui déja. Tactic classique mais avec son armes trop grande, les worgs vont le lacéré en moin de deux! il lui fallait un plan... et au plus vite!

Le worg qui était devant lui se positionna pour lui sauter à la gorge, mais Yougo comprit vite la feinte, alors il joua le jeu, quand le loup bondit il recula son haut du corps pour frapper dans le vide car le loup ne tenait pas a se faire décapiter séance tenante, il n'avait point bondi. Ce qui était le contraire des deux dans son dos. Yougo réagit dune seconde! Un léger déplacement latéral coup de pied arrière sur le loup le plus proche et le tour est jouer , le second loup avait trébucher dans le vide et se fit trancher en deux... mais larme par malchance fut prit entre les os de la bête.

Le worg regretta sa feinte, mais fit son saut contre le demi-elfe pour lui morde le cou. au moment ou les machoir allèrent se refermer... la chair d'un cou demi-elfe se fit mordre par des dents cruelles du worgs! Le demi-elfe sonné et égorgé sortit son épée courte de son manteau et lui planta dans le palais, puis le deuxieme coup dans le ventre. il réussi a pousser le corps mort du worg et dagripper sa potion. Il alla la boire , que le dernier worg sagrippa a son bras a laide de machoire bien formé. Il commença a sétourdir réussi a contrer la mort imminente en prenant ses dernieres forces pour planter son épée dans le crâne du loup.

Il se laissa tomber tout comme le worg, son bras droit déboucha la potion, mais le bras gauche ne répondais plus! L'instant de s'en rendre compte il était presque trop tard! Il prit la potion d'un effort exaspérant, et la bue au complet et ses blessures se refermèrent. Sa vison était très claire maintenant...

Il vit un worg un peu plus gros regarder son visage à lenvers avec une vue en hauteur. Yougo désespera et se leva à temps pour ne pas se faire écraser sa tête par le gueule du worg. Il se redressa et vit un petit cavalier descendre de sa monture. Ses vêtement en peaux de loup et sa couleur de peu fit comprendre au demi-elfe que cétais là un chaman gobelin! Yougo sauta sur le petit être, mais le sort du chaman a été plus rapide... une main de terre avait aggriper les pieds de Yougo le faisant trébucher. La main saggripa alors a son torse... la dernière chose que vit yougo s'était le sourire vil du gobelin regardant sa victime se faire broyer les os qui ne manquèrent pas de provoquer des sons biens inquiètants......

(Yougo est ainsi mort en tentent de survivre en héros...)

Barron Nombre de messages : 181 Date d'inscription : 09/09/2004

-' ARCHER!... '

Cria un soldat décoré qui regardais la meute s'avencer vers le lui et le village.

-' FEU!!! FEU!!! Je veux en voire aucun qui entre dans ce village comprit?!?'

Cria-t'il de nouveau. Les flèches volèrent à la rencontre de plusieurs worg... mais les ordres du capitaine était plus de l'espoir qu'un ordre formel. La première voler de flèche en blessa plusieurs, mais aucun d'eux n'avaient été abbattu. La deuxième voler de flèche fut semblable, quoi qu'un worg succomba. Mais ils faisaient faces à une trentaine de worg, sinon plus. Quelque soldats de Tifak allèrent aider des villageois a aller se cacher ou à se barricader, mais la plupart des hommes se tenanait devant les archer à une distance sécuritaire pour les deux groupes.

-'Dernière chance ARCHÉS! ARMÉ... VISER! FEU!!! '

La troisième voler flèche fut d'une telle force qu'une dizaine de loup avait été achevée, mais les worgs avaits entrer dans la ville et alors les soldats allèrent a leur rencontre craignant pour les citoyens, même si certains d'entre savait se défendre plus qu'eux. Un combat sanglant s'engagea...

Le capitaine alla rejoindre ses hommes aux combats...

-' Tempus! Garde mes guerriers pour que si ils meurent, que ce soit d'une mort honorables et digne des héros! Yaaaaaaaaaaah! '

[…]

Le blizzard avait cessé. Dégagé, le ciel éclairait faiblement la route d’une sinistre lumière blanchâtre. D’un regard fou, Galahad observait partout à la fois et poursuivi d’un pas lourd son périple vers ce qui serait soit la découverte des corps de ses compagnons ou d’heureuses retrouvailles... Dans son entêtement, la première possibilité, plus plausible, restait fermement écartée. À son estimation, le jour se pointerait dans 6 ou 5 heures… 6 ou 5 longues, très longues heures!

Comme un naufragé s’agrippe aux débris d’un bateau, l’ancien tavernier tenait fermement sa grande lame. Le craquement des arbres qui faiblissaient sous le poids de la neige, l’isolement de ce silence pesant, une brise légère comme la caresse de la mort…

*Malédiction! Et puis quoi encore! Les chevaliers de l’apocalypse et les trompettes du jugement dernier? Par tous les démons, concentre toi, soldat!

Les jeunes cabots assez téméraires pour lui faire face resteraient maintenant tranquilles pour l’éternité. Que ce soit par délire ou sixième sens, l’imagination du vieux combattant planquait les wargs les plus vicieux dans l’obscurité des bosquets, s’embusquant et attendant qu’il faiblisse...

*Aller vieux, montre que marcher dans la neige jusqu’au genoux, c’est une partie plaisir! Montre qu’être couvert du sang de tes ennemis, et du tien par-dessus le marcher, c’est une habitude! On retrouve les autres fous, où diable soient-ils, et tout sera pour le mieux.

-Rulmorik! Must! Yougo! Tifak! … bon sens… QUELQU’UN! Beugla-t-il, sourd à toute prudence.

*Et puis, aux cliquetis que cette bonne vielles armure fait, toute la faune sait déjà qu’un humain se promène dans les bois. Si quelques ennemis pourraient se pointer pour faire passer le temps… Ah! Assez reposer! Aux pas de course, soldat!

Galahad, dans un dernier sprint, se lança à l’assaut de ce qu’il commençait à détester de tous les fibres de son corps : la neige. Au loin, à plusieurs foulés, une petite lueur blafarde, quasi imperceptible, flottait dans la nuit.

*Une lanterne? La calèche!

[…]

(suite du duel entre tifak et sa némésis… plus tard Mouhahaha… vous croyez vraiment que je vais gâcher le momentum maintenant?